Quand les cloches sonnent sonnent
Quand les cloches sonnent sonnent
* Une phrase anonyme, enragée au marqueur
Est venue se poser comme sur une fleur.
Se glissant vaillamment dans une boîte aux lettres
Comme une mouche à merde sur une pâquerette
* On connaissait déjà les héros scribouillards
Qui pendant la campagne étaient déjà bavard
Des moustaches hitlériennes à la pauvre madone
Des rumeurs sur Desseigne et les cloches qui sonnent …
* Quel talent, quelle classe, quel courage vraiment !
On les verrait sans peine, il y a cinquante ans
Chanter la bouche pleine, Maréchal nous voilà !
Du papier, de la colle et sur les mains du gras.
* Ah ce cher Villeneuve, et son micro-climat
D’abrutis génétiques et de Villeneuvois
Qui préfèrent sans l’ouvrir payer en souriant
Les frasques du Nabot et de son Gévaudan.
* La mode est aux mots, à ces hauts mots micros
Tracés avec la rage que seuls ont les blaireaux
Illettrés malheureux ou grands propriétaires
Les viabiliser ne les fera pas "terre" !
* Les apôtres du Mètre sont de sérieux clients
Toujours prêts à bondir agressifs et mordants
Filippi le pitbull et loup du Gévaudan
Deux vrais gardes du corps, cerbères incompétents.
* Mais j’oubliais Poito, la patto grisonnant
Notre grenouille agile qui décore en sautant
J’avais une folle envie à cette bonne mine
De lui écrire aussi une lettre anonyme :
* « Poite vain le Manteur, vauleur d’indemnes mitées
Premié radejoint raté et vraifo retraitait
Ta un sous rire idieaux et un veston trô cour »
Non ne porte pas plainte ! RIMBAL fait de l’humour.
RIMBAL